Cédric Ruffié, un candidat libre
Candidat de la France Insoumise, Cédric Ruffié, 37 ans, est père de deux enfants. Arrivé à La Rochelle depuis plusieurs années, c’est un passionné de théâtre, il a d’ailleurs monté une troupe dans sa ville adoptive.
Ce qui lui tient à coeur, c’est l’accès à la culture pour tous. Petit-fils de mineur, il n’a jamais milité dans un parti politique. Comme il le dit, lui-même : « je suis libre, je constate que le pays va mal. Nous sommes dans une logique libérale qui détruit le tissu social. Les riches sont de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus nombreux ». L’écologie, l’aspect humain, le combat pour le partage des richesses, pour l’intérêt général, pour la démocratie, sont les sources de sa motivation politique. L’aspect local de ces élections ne lui a pas échappé. Il se prononce pour la gratuité du pont de l’île de Ré, pour l’écologie de la mer avec des éoliennes créatrices d’emplois.
Cédric Ruffié tiendra une réunion publique, en compagnie de sa suppléante Yhlen Dekkiche, mercredi 31 mai, à Saint-Martin-de-Ré.
Voir les articles consacrés aux candidats Olivier Falorni (divers gauche), Otilia Ferreira (LREM), Bruno Léal (LR-UDI), Jean-Marc Soubeste (EELV), Jean-Marc de Lacoste Lareymondie (FN), sur la 1re circonscription de Charente-Maritime
Lire aussi
-
PolitiqueAnne Mémin, entre ancrage local et vision nouvelle
Née à Saint-Martin et issue d’une famille enracinée localement, la candidate aux élections municipales de Saint-Martin de Ré revendique faire partie d’« une génération de transition, assez jeune pour impulser une nouvelle dynamique, mais aussi assez expérimentée pour avoir du recul et une vraie vision d’avenir. » Elle sera entourée d’une équipe impliquée, très attachée à sa commune.
-
PolitiqueFranck Mussillier, candidat à Sainte-Marie de Ré
-
PolitiqueAu Bois-Plage, François Morin peaufine son programme
Enfant du pays, impliqué au Conseil municipal depuis 2001 ainsi que dans la vie associative, François Morin va progressivement présenter sa liste sur Instagram en cette fin d’année 2025, puis dans les médias, avant de proposer des réunions publiques début 2026.

Je souhaite réagir à cet article