Responsable du pôle traiteur, charcuterie, fromagerie d’Intermarché Saint-Martin de Ré depuis le lancement en 2020 du nouveau concept de magasin, Frédéric Molle joue un rôle clé, étant sur tous les fronts, sans jamais se départir de son calme et de sa bonne humeur.
La sécurité des Flottais et le projet de PAEN* souhaité par La Flotte et refusé par la Communauté de Communes ont été les deux points essentiels du Conseil municipal de rentrée.
Nouveau skatepark, installation de bâtiments modulaires pour le RFO et le SCR, réutilisation des eaux usées traitées (REUT) pour l’arrosage du terrain de rugby, la commune investit à Bel Air, autour de 550 K€ cette année.
Arthur Da Costa Adao et Louis Grizeau ont repris L’écailler, en avril, à La Flotte. Le cuisinier et le sommelier, 27 ans, ont dans leurs bagages des expériences étoilées. Les jeunes chefs d’entreprise misent surtout sur des produits locaux et de qualité pour faire la renommée du restaurant gastronomique.
Avec près de 80 associations participantes et une météo clémente, l’édition 2025 de la fête des associations qui s’est déroulée au Bois-Plage dimanche 7 septembre a confirmé l’attachement des Rétais à leurs associations et l’implication des nombreux bénévoles qui les animent toute l’année. Nous vous proposons un petit condensé de la vie associative rétaise en photos.
Au vu des constats réalisés lors des inspections effectuées cet été sur le chantier et des plaintes pour nuisances olfactives récurrentes, Brice Blondel, Préfet de la Charente-Maritime, prend un arrêté de mise en demeure, ce jeudi, à l'encontre de la société SPEED REHAB
Cette 3ème édition de la Fête des Vignes en Ré s’est déroulée le premier week-end de septembre.
13 septembre, à Sainte-Marie, la première soirée d’enchères rétaise a mobilisé près de deux cent participants.
Dimanche 14 septembre, le Département de la Charente-Maritime vous donne rendez-vous aux Portes-en-Ré, pour la 3e édition du Festival Fleur de Sel, un événement gratuit et ouvert à tous.
…Ou l’île aux requins comme le titrait un livre au parfum de scandale, les époques changent, les pressions restent toujours aussi fortes sur notre petit territoire. Entre un projet immobilier grandiose aux Evières avec piste d’atterrissage et chenal d’accès à la mer dans les années 1950 jusqu’aux actuels projets de parcs industriels éoliens au large de nos côtes, en passant – ça vient de sortir en ce mois de septembre 2025 via une enquête publique – par des projets d’algoculture à l’entrée du Fier d’Ars et à la Pointe du Grouin à Loix, que les élus de l’île de Ré découvrent là aussi sans avoir été consultés, quel point commun me direz-vous ?
L’attractivité de notre île, bien sûr, qui conduit à ces tentatives de privatisation du domaine maritime et du domaine terrestre, exerçant des pressions économiques très fortes, évidemment au détriment de l’environnement que nos élus s’escriment à préserver depuis des décennies.
A contrario, les opposants au nouveau projet de la caserne d’Ars invoquent notamment « la vocation mémorielle » du site retenu pour faire appel d’une décision de justice qui leur est défavorable, risquant fort de retarder encore la construction d’un équipement vital pour la sécurité des habitants du nord de l’île.
Il n’est décidément pas facile d’être un élu sur l’île de Ré aujourd’hui, avis aux candidats !