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La Case, un premier roman qui fait parler de lui

Inspirée par la renommée des Portes-en-Ré où se situe l’action, l’auteur Catherine Swagemakers, une Portingalaise d’adoption, a laissé libre cours à son imagination. A la clé ? Un lecteur emporté, avec humour, dans un thriller à suspens au coeur de l’Île de Ré
Parisienne d’origine, Catherine Swagemakers a élu domicile aux Portesen- Ré il y a une quarantaine d’années. C’est lors de vacances entre copains qu’elle découvre ce territoire insulaire et tombe sous son charme. Elle exerce ensuite différents métiers aux Portes-en-Ré, comme la création d’un festival de théâtre « Passe Portes », dédié aux jeunes compagnies émergentes. Par la suite, elle ouvre avec son mari « la Plantation », un bar à cocktails au coeur du village et devient résidente permanente.
Le petit village glamour dévoile un autre visage
Le couple découvre alors un endroit plein de surprises pour celles et ceux qui décident de s’y installer définitivement. Comment dire ? Les Portesen- Ré, une sorte de monde à part, sans limite, très isolé du reste du monde en hiver mais qui vit comme un tsunami en été. Une approche des relations humaines qui fait un grand écart, des coups bas mais aussi de vraies amitiés, une jeunesse dorée en vacances, blasée de tout… beaucoup de choses à raconter, des souvenirs laissés par les activités qu’elle a exercées. Il lui est arrivé de côtoyer le monde du jour comme celui de la nuit… Elle a donc été le témoin privilégié et amusé des anecdotes décrites dans cette histoire.
Une belle rencontre avec Anne Pasquier de Franclieu, propriétaire de « la Case à vent » (ou « la Case » comme la nomment les habitués), est à l’origine de ce livre. Partageant leurs expériences professionnelles, entre éclats de rire, croissants et café noir, pendant de longues matinées d’hiver, le projet de dévoiler plus largement toutes ces incroyables aventures est devenu une évidence. Ensemble, elles ont concocté un story-board de film, pensant que toutes ces petites saynètes de la vie commerçante portingalaise méritaient bien une comédie audiovisuelle. Puis, doucement, l’idée du livre s’est imposée et Catherine s’est prise au jeu de l’écriture de ce roman avec un plaisir non dissimulé.
Nos bonnes raisons de lire « La Case »
En résumé : deux Parisiennes un peu déjantées débarquent sur l’île pour changer de vie et reprennent un restaurant abandonné dans le village des Portes-en-Ré.
Elles se retrouvent ensuite mêlées à une enquête criminelle à rebondissements où les dérives les plus perverses éclatent au grand jour. Aventure, humour, histoire d’amour, suspens, personnages attachants dans un endroit à forte notoriété… tous les ingrédients d’un bon livre sont ici réunis. Son accueil par le public est enthousiaste, en témoigne ce florilège d’avis laissés sur Google : « Absolument génial, une histoire captivante, j’ai dévoré ce livre en une nuit, un polar à la Joël Dicker, à quand le prochain livre ? J’ai été emporté par l’écriture… »
Il ne tient qu’à vous de dévorer ce témoignage de l’amour inconditionnel que porte Catherine Swagemakers à l’Île de Ré.
Plus d’info
En vente au tarif de 18 euros,
sur l’île, chez Leclerc,
Intermarché, libraire le Grand
Largue et au tabac presse des
Portes-en-Ré, sur le site Amazon,
Cultura La Rochelle.
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