Ayant succédé à Laurent Zuchowicz en septembre 2023, le procureur de la République Arnaud Laraize a reçu Ré à la Hune en ce début d’année 2025, pour faire le point sur les actions mises en place depuis son arrivée, les résultats déjà obtenus et ses priorités.
La Charente-Maritime dispose aujourd’hui de son Plan d’Action Départemental de Restauration de la Sécurité du Quotidien, élaboré par le préfet et les procureurs, avec les forces de l’ordre et autres acteurs concernés. Présentation.
Lors du Conseil municipal de La Flotte du 30 janvier, les subventions aux associations pour 90 K€ (unanimité) et un budget primitif 2025 de 13,96 M€ (deux abstentions) ont été votés.
Trouver un logement est une chose, pouvoir y vivre bien en est une autre. Et public ou privé, cela tourne parfois au cauchemar dans le bâti ancien.
Le député La Rochelle-Île de Ré a fait adopter un amendement, fruit d’une expérimentation en Charente-Maritime.
En attendant la loi, un débat grave et digne sur la fin de vie a attiré la grande foule à la Maline. La projection du film Le Dernier souffle, suivie d’un échange passionnant et passionné avec le député Olivier Falorni, a soulevé encouragements et interrogations.
La Librairie Quillet participe à une vente aux enchères autour de la cuisine et des vins, le 15 mars, à Tours. Le Café littéraire accueillera de son côté le 27 mars le club de jazz Blueperry.fr
Pour découvrir en avant-première le film « Des jours meilleurs » et faire une bonne action, rendez-vous dimanche 16 mars à 16h à La Maline.
Du 17 au 23 mars prochain, le centre aquatique vivra encore plus que d’habitude au rythme de l’eau, en écho au Water Day, rendez-vous mondial du samedi 22 mars.
On parle souvent des « Rétais », qualificatif qui sous-entend implicitement que le seul fait d’habiter l’île de Ré créerait une sorte d’identité commune.
La réalité est toute autre, la population rétaise étant multiforme, de par ses origines, mais aussi son « usage » de l’île : Résidents permanents ou « secondaires », Rétais « de souche » ou non, l’île des actifs et celle des retraités…
On parle pourtant rarement des habitants du sud de l’île qui travaillent ailleurs et n’ont pas toujours ce lien affectif fort avec elle. Ou la notion d’une île-dortoir.
N’est-ce pas dès lors très abusif de parler des « Rétais » ou des « îliens », tant la population de l’île est difficile à appréhender ? Sans oublier la multiplication par dix de celle-ci en été. On comprend mieux les conflits d’usage, parfois exacerbés, et la difficulté de gérer un territoire comme le nôtre.
Le « vivre ensemble » n’a jamais été simple, a fortiori sur une île réceptacle d’une population aussi hétérogène.